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Les rigidités et faiblesses du droit libanais des sociétés

Docteur :Salam ABDEL SAMAD
Date de la soutenance :30 Septembre 2013
Horaires :14h
Adresse :Salle 4
Discipline :Droit
Ajouter au Calendrier 09/30/2013 14:00 09/30/2013 17:00 Europe/Paris Les rigidités et faiblesses du droit libanais des sociétés Les évolutions du monde économique ont bouleversé l'organisation des entreprises. Désormais, les dirigeants, les actionnaires, les marchés et plus largement l'ensemble des acteurs économiques exigent des structures managériales plus souples, plus réactives, plus transparentes et plus sûres. Ainsi,...
Adresse :Salle 4
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Jury :

Monsieur Hervé LECUYER - Professeur des Universités (Université Paris 2 Panthéon-Assas), directeur de thèse 

Monsieur Georges NAFFAH - Professeur des Universités (Université Libanaise), directeur de thèse

Monsieur François-Xavier LUCAS - Professeur des Universités (Université Paris 1), rapporteur

Monsieur Didier PORACCHIA - Professeur des Universités (Université Aix-Marseille), rapporteur

Madame Safaà MOUGHARBEL - Professeur des Universités (université libanaise)

Les évolutions du monde économique ont bouleversé l'organisation des entreprises. Désormais, les dirigeants, les actionnaires, les marchés et plus largement l'ensemble des acteurs économiques exigent des structures managériales plus souples, plus réactives, plus transparentes et plus sûres. Ainsi, pour s'adapter, les entreprises ont dû subir, dans les dernières années plus de réformes qu'elles en avaient, sans doute, supportées au cours de la deuxième moitié du XX siècle. Mais les enjeux sont de taille : ils engagent la crédibilité, la croissance, la rentabilité et, à terme, la survie de l'entreprise et la prospérité des nations.

Qu'en est-il au niveau du Droit libanais des sociétés? Ce Droit est mal adapté aux besoins des entreprises, car sa rigidité fait souvent obstacle à l'adoption de structures qui correspondent aux besoins souvent très spécifiques des associés. Certes, la pratique a imaginé des palliatifs. Mais leur efficacité est limitée et leur validité n'est pas toujours indiscutable. Cette situation est regrettable, car elle incite les entreprises à constituer à l'étranger leurs structures de collaboration, afin d'échapper à une législation trop contraignante. A l'heure où le Droit comparé gagne en importance et les règles internationales du commerce penchent vers l'intégration, il serait grand temps au Liban - pour le législateur, les juristes et les praticiens - de surmonter cet handicap juridique.