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Libéralisme pénal

Libéralisme pénal
couverture de l'ouvrage
Date de parution
Mars, 2022
Éditeur
Éditions Panthéon-Assas
Collection
Nouvelle recherche
ISBN
978-2-37651-042-0
Nombre de pages
710

Distinguée par le Prix Vendôme et par une mention spéciale du Prix Jean Carbonnier, la thèse de Raphaëlle THÉRY offre une approche autant originale et doctrinale qu'historique et exhaustive de ce qu'est le libéralisme pénal. Notion contestée ou dressée comme étendard, ledit libéralisme se devait d'être étudié, théorisé et analysé avec précision. C'est ici chose faite.

Car alors qu’aux XVIIe et XVIIIe siècles, la question de la justice pénale était le fer de lance du libéralisme politique, le libéralisme politique avancé observe un silence troublant sur ce point. Comment expliquer cette désaffection, dans un contexte caractérisé par une crise profonde des institutions pénales depuis la fin des années 1960 ? Ce travail vise à défendre une approche libérale du droit pénal, tout en soulignant les contradictions qui la traversent et les difficultés qu’elle soulève. Parce que l’institution pénale est profondément ambivalente (bouclier protecteur des libertés individuelles et glaive qui les pourfend), elle est une institution non idéale, défiant la confiance libérale dans les institutions. La thèse centrale de ce travail est que le libéralisme pénal bien compris est un minimalisme pénal, fruit de la méfiance vis-à-vis de l’institution pénale (quelles que soient les bonnes intentions qui y président) et de la conscience de son inéluctable faillibilité.

Raphaëlle THÉRY, ancienne élève de l’École normale supérieure de la rue d’Ulm et agrégée de philosophie, est maîtresse de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas.

Présentation :

Distinguée par le Prix Vendôme et par une mention spéciale du Prix Jean Carbonnier, la thèse de Raphaëlle THÉRY offre une approche autant originale et doctrinale qu'historique et exhaustive de ce qu'est le libéralisme pénal. Notion contestée ou dressée comme étendard, ledit libéralisme se devait d'être étudié, théorisé et analysé avec précision. C'est ici chose faite.

Car alors qu’aux XVIIe et XVIIIe siècles, la question de la justice pénale était le fer de lance du libéralisme politique, le libéralisme politique avancé observe un silence troublant sur ce point. Comment expliquer cette désaffection, dans un contexte caractérisé par une crise profonde des institutions pénales depuis la fin des années 1960 ? Ce travail vise à défendre une approche libérale du droit pénal, tout en soulignant les contradictions qui la traversent et les difficultés qu’elle soulève. Parce que l’institution pénale est profondément ambivalente (bouclier protecteur des libertés individuelles et glaive qui les pourfend), elle est une institution non idéale, défiant la confiance libérale dans les institutions. La thèse centrale de ce travail est que le libéralisme pénal bien compris est un minimalisme pénal, fruit de la méfiance vis-à-vis de l’institution pénale (quelles que soient les bonnes intentions qui y président) et de la conscience de son inéluctable faillibilité.

Raphaëlle THÉRY, ancienne élève de l’École normale supérieure de la rue d’Ulm et agrégée de philosophie, est maîtresse de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas.

Prix pour l'édition papier : 55 €