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La Citoyenneté comme appartenance au corps politique

La Citoyenneté comme appartenance au corps politique
couverture de l'ouvrage
Date de parution
Janvier, 2021
Éditeur
Éditions Panthéon-Assas
Collection
Pensée contemporaine
ISBN
978-2-37651-016-1
Nombre de pages
280
Cet ouvrage consacré à la citoyenneté comme appartenance au corps politique rassemble les communications des meilleurs spécialistes européens de cette question, qu’ils soient historiens, juristes, politistes ou philosophes.
Il est articulé autour de quatre axes. La question classique du droit de vote et d’éligibilité, aujourd’hui puissamment mise en cause du fait de l’abstention et, plus largement, de la crise de la représentation. L’enjeu du lien entre la citoyenneté et les différentes communautés – la petite cité, l’État, l’Europe – d’appartenance, l’essentiel est-il affaire de résidence, de nationalité, d’autre chose ? Mais être citoyen n’est pas seulement une question de bulletin glissé dans une urne ou de papiers d’identité, on peut également l’aborder dans sa dimension comportementale. Le « bon citoyen » : peut-on ou doit-on exiger de lui un comportement civique ? Le « mauvais citoyen » : envisage-t-on de le mettre en cause parce qu’il commet des incivilités ou, plus grave, des actes méritant des sanctions pénales (privation de droits civiques) ou civiques (déchéance de nationalité) ?
Par-delà les différentes approches de la citoyenneté – politique, communautaire, civique et punitive – les textes présentés, tirés d’un colloque international organisé par l’Institut Michel Villey en 2017, permettent d’interroger à nouveaux frais l’unité du concept et du régime juridique de la citoyenneté. 
 
Présentation :
Cet ouvrage consacré à la citoyenneté comme appartenance au corps politique rassemble les communications des meilleurs spécialistes européens de cette question, qu’ils soient historiens, juristes, politistes ou philosophes.
Il est articulé autour de quatre axes. La question classique du droit de vote et d’éligibilité, aujourd’hui puissamment mise en cause du fait de l’abstention et, plus largement, de la crise de la représentation. L’enjeu du lien entre la citoyenneté et les différentes communautés – la petite cité, l’État, l’Europe – d’appartenance, l’essentiel est-il affaire de résidence, de nationalité, d’autre chose ? Mais être citoyen n’est pas seulement une question de bulletin glissé dans une urne ou de papiers d’identité, on peut également l’aborder dans sa dimension comportementale. Le « bon citoyen » : peut-on ou doit-on exiger de lui un comportement civique ? Le « mauvais citoyen » : envisage-t-on de le mettre en cause parce qu’il commet des incivilités ou, plus grave, des actes méritant des sanctions pénales (privation de droits civiques) ou civiques (déchéance de nationalité) ?
Par-delà les différentes approches de la citoyenneté – politique, communautaire, civique et punitive – les textes présentés, tirés d’un colloque international organisé par l’Institut Michel Villey en 2017, permettent d’interroger à nouveaux frais l’unité du concept et du régime juridique de la citoyenneté. 
 
Prix pour l'édition papier : 34 euros