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Le gouvernement des communautés politiques à la fin du Moyen Âge. Entre puissance et négociation : Villes, Finances, État

Le gouvernement des communautés politiques à la fin du Moyen Âge. Entre puissance et négociation : Villes, Finances, État
Couverture de l'ouvrage
Auteurs
Corinne LEVELEUX-TEIXEIRA (Professeur d’histoire du droit à l’université d’Orléans ),
Anne ROUSSELET-PIMONT (Professeur d’histoire du droit et des institutions à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne),
Pierre BONIN (Professeur d’histoire du droit et des institutions à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne),
Florent GARNIER (Professeur d’histoire du droit et des institutions à l'université Toulouse Capitole)
Date de parution
Janvier, 2011
Éditeur
Éditions Panthéon-Assas
Collection
Pensée contemporaine
ISBN
978-2-913397-95-8
EAN
9782913397958.00
Nombre de pages
582

La ville débute, par la question première de sa définition, où se mêlent terminologie, fixation de contours géographiques, sociaux ou juridiques, et revendications de prérogatives. La perspective est ensuite renversée, avec le problème de l'exercice du pouvoir à l'intérieur de la municipalité, au travers notamment des modalités de la décision.
De l'exercice du pouvoir on passe à ses moyens, de la ville aux finances. L'impôt est la condition de l'avènement des formes nouvelles de rapports politiques, c'est pourquoi son établissement ne va pas sans discussion et que demeurent longtemps les interrogations sur sa légitimité. Pour autant, la fi scalité s'implante à mesure et sous la condition que sa gestion se publicise, et l'administration des finances devient donc un enjeu majeur de l'efficacité et de l'équilibre des nouveaux modes de pouvoir.
Enfin, ces derniers s'incarnent bien entendu dans l'État. Face aux puissances englobantes (papauté et empire), le royaume se pense progressivement comme principale communauté de référence. Dès lors, l'affirmation progressive d'une souveraineté encore longtemps négociée va être la voie privilégiée d'édification progressive des structures de l'État.
Mais pas plus que l'État, les études ici rassemblées ne sont un point d'achèvement.


Bien au contraire, et dans le prolongement de l'oeuvre d'Albert Rigaudière, elles visent à soulever de nouveaux questionnements, pour l'écriture toujours à compléter de leçons sur l'art de gouverner.

Ouvrage coordonné par :
- Pierre BONIN, Professeur à l'Université de Paris-Nord, Centre de recherche sur l'action locale ;
- Florent GARNIER, ancien élève de l'Ecole normale supérieure de Cachan, Professeur à l'Université d'Auvergne-Clermont 1, Centre Michel de L'Hospital (E.A 4232) ;
- Corinne LEVELEUX-TEIXEIRA, Professeur à l'Université d'Orléans, Laboratoires des collectivités locales et SAVOURS (E.A. 3272), Membre de l'IUF ;
- Anne ROUSSELET-PIMONT, Professeur à l'Ecole de droit de la Sorbonne, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Centre d'histoire des droits communs.

Actes du colloque en l'honneur d'Albert Rigaudière.
Du 6 au 8 novembre 2008, se sont réunis à Paris autour de l’oeuvre du professeur Albert Rigaudière plus d’une trentaine de spécialistes de l’époque médiévale et moderne, issus des facultés de droit et des facultés de lettres, en provenance de toute l’Europe ainsi que d’Amérique du Nord. Cette rencontre était l’occasion de prolonger dans une vue souvent comparative les trois axes majeurs de la réflexion d’Albert Rigaudière : la ville, les finances et l’État.

Présentation :

La ville débute, par la question première de sa définition, où se mêlent terminologie, fixation de contours géographiques, sociaux ou juridiques, et revendications de prérogatives. La perspective est ensuite renversée, avec le problème de l'exercice du pouvoir à l'intérieur de la municipalité, au travers notamment des modalités de la décision.
De l'exercice du pouvoir on passe à ses moyens, de la ville aux finances. L'impôt est la condition de l'avènement des formes nouvelles de rapports politiques, c'est pourquoi son établissement ne va pas sans discussion et que demeurent longtemps les interrogations sur sa légitimité. Pour autant, la fi scalité s'implante à mesure et sous la condition que sa gestion se publicise, et l'administration des finances devient donc un enjeu majeur de l'efficacité et de l'équilibre des nouveaux modes de pouvoir.
Enfin, ces derniers s'incarnent bien entendu dans l'État. Face aux puissances englobantes (papauté et empire), le royaume se pense progressivement comme principale communauté de référence. Dès lors, l'affirmation progressive d'une souveraineté encore longtemps négociée va être la voie privilégiée d'édification progressive des structures de l'État.
Mais pas plus que l'État, les études ici rassemblées ne sont un point d'achèvement.


Bien au contraire, et dans le prolongement de l'oeuvre d'Albert Rigaudière, elles visent à soulever de nouveaux questionnements, pour l'écriture toujours à compléter de leçons sur l'art de gouverner.

Ouvrage coordonné par :
- Pierre BONIN, Professeur à l'Université de Paris-Nord, Centre de recherche sur l'action locale ;
- Florent GARNIER, ancien élève de l'Ecole normale supérieure de Cachan, Professeur à l'Université d'Auvergne-Clermont 1, Centre Michel de L'Hospital (E.A 4232) ;
- Corinne LEVELEUX-TEIXEIRA, Professeur à l'Université d'Orléans, Laboratoires des collectivités locales et SAVOURS (E.A. 3272), Membre de l'IUF ;
- Anne ROUSSELET-PIMONT, Professeur à l'Ecole de droit de la Sorbonne, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Centre d'histoire des droits communs.

Actes du colloque en l'honneur d'Albert Rigaudière.
Du 6 au 8 novembre 2008, se sont réunis à Paris autour de l’oeuvre du professeur Albert Rigaudière plus d’une trentaine de spécialistes de l’époque médiévale et moderne, issus des facultés de droit et des facultés de lettres, en provenance de toute l’Europe ainsi que d’Amérique du Nord. Cette rencontre était l’occasion de prolonger dans une vue souvent comparative les trois axes majeurs de la réflexion d’Albert Rigaudière : la ville, les finances et l’État.

Prix pour l'édition papier : 60€